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 un réveil tout en douceur... ou pas !

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Aaron J. Stenford

Aaron J. Stenford


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MessageSujet: un réveil tout en douceur... ou pas !   un réveil tout en douceur... ou pas ! EmptyMar 4 Jan - 23:35

"Entraînement à six heures demain matin, messieurs. Je vais vous apprendre la dureté du football, moi !". Alors que j'enfilais ma tenue pour ce fameux entraînement, les paroles du coach lors de l'entraînement de la veille me revinrent en mémoire. Entraînement à 6heures, on aura vraiment tout vu ! J'avais eu un mal fou à me sortir du lit ce qui, vu l'heure matinale, était des plus normales, surtout pour un flemmard de mon genre. En tant que nouveau membre de l'équipe, je ne pouvais manquer un entraînement : ma présence était requise chaque jour. Le premier match de la saison approchait à grand pas, et le coach souhaitait que nous soyons les meilleurs possibles. La victoire était à notre portée, mais pour cela, il fallait s'entraîner encore et encore. S'ensuivirent deux heures d'intenses labeurs. Comme ne cessait de le répéter le coach, le football, c'est pas pour les fillettes ! Alors que je me rendais au vestiaire, chacun de mes muscles endoloris par ces deux heures de sport, je crois que je croyais un peu plus à cette affirmation désormais.

Après une rapide douche, mon sac sur l'épaule, ma bouteille d'eau en main, je dus produire un nouvel effort - le énième de la journée - à savoir courir le plus rapidement possible pour ne pas arriver une nouvelle fois en cours. Une deuxième heure de colle en moins de deux semaines n'était même pas envisageable. En arrivant devant la salle, plusieurs de mes camarades de cours étaient déjà présents. Chacun d'entre eux abordait pour une raison qui m'était encore inconnue un sourire sur les lèvres. Liam, un autre footballeur s'adressa alors à moi et m'apporta la première vraie bonne nouvelle de ma journée. "La prof de littérature est absente, Aaron. On est libres pour les trois heures à venir !" m'annonça t-il tout heureux qu'il était de m'apporter cette nouvelle. Il me fallut quelques secondes pour assimiler ce qu'il venait avant de sourire à mon tour. Ce creux dans ma journée s'annonçait bien. Sans attendre, je pris le chemin des parcs qui bordaient l'université, bien décidé à me détendre un peu après cette matinée de folie. Il s'agissait d'une belle journée, plutôt ensoleillé, alors autant en profiter en extérieur. Ma bouteille d'eau en mains, je bus une gorgée de cette dernière avant d'arriver à destination. L'endroit était plutôt désert : la plupart des étudiants de Columbia avaient cours, eux, contrairement à moi. Cependant, allongé à proximité d'un arbre, je reconnus une silhouette que je ne connaissais que trop bien : celle de mon meilleur ami, Ethan. Avait- il séché les cours ? Ou bien, comme moi, n'avait t-il pas cours ? J'ignorais la réponse mais je n'avais pas l'intention de le laisser se la couler douce ainsi. Un sourire espiègle sur les lèvres, tenant toujours ma bouteille en main, je me rapprochais le plus silencieusement possible de lui. Une fois arrivé le plus près possible, me tenant juste au-dessus de lui, j'ouvris mon arme fatale : ma bouteille. Penchant cette dernière vers lui, je ne pus m'empêcher de rire et donc, de signaler ma personne lorsque l'eau lui tomba dessus et qu'il se redressa en sursaut. Je me sentais d'humeur taquine en ce début de journée, c'est le moins qu'on puise dire !


Dernière édition par Aaron J. Stenford le Jeu 20 Jan - 12:46, édité 1 fois
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Ethan L. Evans

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MessageSujet: Re: un réveil tout en douceur... ou pas !   un réveil tout en douceur... ou pas ! EmptyMer 5 Jan - 14:58

un réveil tout en douceur... ou pas ! Ian-i310 un réveil tout en douceur... ou pas ! Alex-i10
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    Le réveil me réveilla en sursaut. La couverture au sol, jambes écartées et bras sous le coussin, j’adoptai la position du vrai flemmard. J’ouvris péniblement un œil et regardai l’heure. 9h00 ! Impossible ! Mon réveil aurait dû sonner 1h00 avant ! A moins qu’il ait sonné, mais que je ne l’ai pas entendu. Ce qui est tout à fait plausible. Je poussai un long soupir tout cachant ma tête dans mon coussin moelleux et confortable. Et moi qui voulais faire mes preuves. Montrer à tous ceux qui me qualifiaient d’incapable qu’ils se trompaient sur toute la ligne. Rendre ma mère fière en suivant des études de droit dans une université prestigieuse. Je n’y arriverais pas. Ce n’est pas que j’en ai pas envie, bien au contraire ! J’ai fait appel à un mec, Martin, pour qu’il puisse m’aider dans mes études et améliorer ma façon de travailler. Je n’ai jamais été autant investit dans les cours. Mais, même après tous ces efforts, je reviens au même point de départ, celui que je tente désespérément de changer pour devenir quelqu’un d’autre. Ca doit être inscrit dans mes gênes. Je suppose que je dois tenir ce trait de caractère de mon père vu que ma mère est quelqu’un qui s’acharne au travail, ce que j’ai toujours admiré. Je ne peux que supposer, émettre des hypothèses mon père. Quand je n’arrive pas à dormir le soir, je m’invente sa vie. Je le vois dans une belle et grosse voiture, avec bon boulot qui rapporte énormément. Il a une femme et des enfants. De beaux enfants. Sa maison est une maison comme on peut les voir dans les films. Je ne sais pas ce qui est le plus dérisoire dans cette histoire. M’inventer la vie hypothétique de mon père ou de n’être qu’un spectateur de son existence…

    Je me levai lentement et me rendis dans la salle de bain. J’entrai dans la douche et réglai le débit de l’eau chaude sur le maximum. L’eau ruisselant sur mon corps, je tentai de me vider de toutes mes idées les plus noires. Peu à peu, elles entreprirent le même trajet de l’eau et finirent dans le siphon. Cette façon de voir les choses m’amuserait toujours autant. Si seulement on pouvait faire pareil avec tous nos problèmes, ce serait plus simple. Après m’être lavé, je sortis de la douche tout en enroulant une serviette chaude autour de ma taille. Je terminai de faire ma toilette et ensuite, je retournai dans ma chambre où je m’habillai. Mon regard se posa sur mon bureau. Je devrai peut-être travailler un peu. Histoire d’avoir tout de même travailler un peu … Un long soupir s’échappa bien malgré moi. L’envie n’y était pas. Loin de là. Je me rappelai soudain que j’avais un cours avec Martin, plus tard dans la journée. Parfait ! Problème réglé, je pourrai travailler avec lui. Tout en sortan, je pris tout de même mon sac, pour ne pas avoir à revenir dans ma chambre par après.

    Dehors, les rayons du soleil perçaient les quelques nuages qui parsemaient le ciel. Il faisait frais, mais ce n’était pas dérangeant. Je ne pris pas ma voiture. Après tout, marcher était bon pour la santé. Mes pas me menèrent vers le parc. Il n’y avait personne ce qui le rendait étonnement calme. Normal me diriez-vous vu que tout le monde est cours. Je me dirigeai vers un arbre imposant. Je posai mon sac au pied de celui-ci et me couchai prenant le soin de poser ma tête sur mon bagage. Je fermai les yeux tout en profitant de ce calme reposant. Venir ici, dans ce parc, me rappelait les moments de complicité que je passais avec ma mère. Petit, elle m’y emmenait presque tous les week-ends. Elle me laissait gambader tandis qu’elle s’installait sur un banc tout en lisant un livre. Elle était belle. Sincèrement, ma mère est la meilleure femme au monde. Je lui faisais vivre un enfer certes et pourtant, elle faisait toujours en sorte que je me sente bien. Elle comblait le manque d’amour paternel. Ma mère est un exemple, un modèle. Soudain, un rire me tira de mes songes. Avant même d’avoir eu le temps d’ouvrir les yeux et de voir le visage de la personne qui s’était dangereusement rapprochée de moi, je fus aspergée d’eau. Je poussai un juron tout en me relevant. Le visage dégoulinant, je crachai de l’eau qui était rentrée malencontreusement dans ma bouche.

    - Espèce de sale enfoi… Aaron ? dis-je étonné de reconnaître le visage de mon meilleur ami, hilare.

    Le voyant se tordre de rire, je ne pus m’empêcher de me joindre à lui. J’essuyai mon visage tout en m’aidant de ma manche. J’aurais dû m’en douter. Il n’y a que lui pour faire des coups pareils.

    - Tu viens de signer ton arrêt de mort mon gars ! lui lâchai-je entre deux rires. Qu’est-ce que tu fous ici ? Tu devrais pas être en cours ?

    Je me rassis, me réjouissant de la perspective d'avoir un peu de compagnie.

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Aaron J. Stenford

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MessageSujet: Re: un réveil tout en douceur... ou pas !   un réveil tout en douceur... ou pas ! EmptySam 8 Jan - 16:38

Le voir se redresser en sursaut comme s'il avait vu un fantôme ou quelque chose dans le genre me fit beaucoup rire, je l'avoue. Néanmoins, sa réaction lorsqu'il se rendit compte que c'était moi, son meilleur ami, qui venait de l'asperger d'eau me fit rire de plus belle. "Espèce de sale enfoi… Aaron ?". L'étonnement était perceptible dans sa voix et après la surprise de me voir devant lui, son visage se fendit d'un sourire et son rire se joignit au mien. Il ne nous fallait vraiment pas grand-chose pour nous marrer, mais après tout, rire aidait à forger nos abdos et allongeait notre espérance de vie, donc, autant rire au maximum ! Un sourire accroché aux lèvres, je m'installai par terre tandis que dans le même temps, je l'observais s'essuyer le visage avec la manche de son pull. J'aurais vraiment dû filmer sa réaction, car cette dernière était... mémorable et resterait dans ma mémoire pendant quelques temps. Tandis qu'Ethan s'installait en face de moi, les mots qu'il m'adressa me firent sourire de plus belle. "Tu viens de signer ton arrêt de mort mon gars ! Qu’est-ce que tu fous ici ? Tu devrais pas être en cours ?". Posant mon "arme", à savoir ma précieuse bouteille d'eau à côté de moi, comme geste de paix, je passai rapidement une main dans mes cheveux avant de lui répondre. On t'a jamais dit que la vengeance était un plat qui se mange froid ? Et puis, je suis ton meilleur ami, c'est mon job de te taquiner... de temps en temps. Je lui adressai un sourire angélique, comme pour le dissuader de me faire un mauvais coup dans les temps à venir. Je savais cependant qu'il ne se priverait pas pour me rendre la monnaie de ma pièce : après tout, comme on dit, qui aime châtie bien et nous étions lui comme moi, maîtres dans l'art des mauvais coups à autrui. Cela nous avait déjà attiré des problèmes par le passé, et cela serait sûrement encore le cas aujourd'hui, mais ce n'est pas ce qui nous arrêterait, loin de là ! Avec Ethan, nous avions déjà fait les pires conneries, les 400cents coups et même pire que ça. En plus de partager une amitié solide depuis maintenant un paquet d'années, nous étions semblables sur bien des points, ce qui nous aidait à comprendre l'autre dans les moments difficiles. Même mon absence de deux ans n'avait pas réussi à nous séparer, c'est dire.

Me laissant tomber sur le dos, pour prendre la même position qu'occupait Ethan avant que je vienne le réveiller "tout en douceur", je repris la parole pour répondre à sa seconde question. "Le bon Dieu m'a filé un petit coup de pouce aujourd'hui : ma prof de littérature est absente. Je suis donc libre pour les trois heurs à venir. C'est le paraaaaaaaadis !" lançais- je tout heureux de pouvoir me détendre quelques heures durant. Fixant durant quelques courtes secondes le ciel bleu azur, je me redressai légèrement de façon à pouvoir voir mon meilleur ami. Je souriais légèrement, une fois de plus. "Et toi ? Qu'est ce qui t'amènes ici ?" demandais-je avec malice. "Tu n'avais pas cours ou alors tu sèches ? Pardon, je viens de me rappeler à qui je parle : avec toi, il n'y a qu'une seule hypothèse de possible pour que tu ne sois pas en cours", lançais-je en me mettant à rire de plus belle. Une fois de plus, je le taquinais, je le provoquais. Quelque chose me disait que j'allais prendre cher dans les jours à venir lorsqu'il déciderait de se venger...


Dernière édition par Aaron J. Stenford le Jeu 20 Jan - 12:47, édité 1 fois
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Ethan L. Evans

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MessageSujet: Re: un réveil tout en douceur... ou pas !   un réveil tout en douceur... ou pas ! EmptyDim 16 Jan - 18:50

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    - On t'a jamais dit que la vengeance était un plat qui se mange froid ? Et puis, je suis ton meilleur ami, c'est mon job de te taquiner... de temps en temps.

    Je ne pus m’empêcher de rire. Un plat qui se mange froid, on ne peut si bien dire ! Mon t-shirt était trempé et collait de façon dérangeante à mon torse. Je regardai Aaron, fronçant les sourcils. Dans mon cas, ma vengeance sera glacée. Il ne perd rien pour attendre. Préparant déjà minutieusement mon plan, je mimai un couteau avec lequel on en tranche une gorge. Je savais pertinemment que ce geste n’allait pas lui mettre la pression mais autant jouer le jeu après tout.

    - Si par « de temps en temps », tu sous-entends tous les jours, je suis tout à fait d’accord avec toi, lâchai-je sarcastique.

    J’étais bien placé pour lui faire la remarque étant l’un des plus grand joueur et fouteur de merde de toute l’histoire. Effectivement, j’ai besoin de ma dose quotidienne de gaffe et sale coups. Je n’étais pas du genre à rester les bras croisés sans rien faire et vivre paisiblement ma petite vie sans rien dire. Je devais impérativement mettre du piment, chercher la petite bête et compliquer les choses. Cette façon de voir les choses remontent d’il y a déjà bien longtemps. Enfant, si j’allais en cours, c’était pour la simple et bonne raison que je devais assouvir mes envies d’être le centre du monde. Je ressentais systématiquement le besoin d’amuser la galerie, chose dans laquelle j’excellais. Ce besoin ne m’a pas lâché en étant adolescent. J’étais délibérément qualifié de pitre du fond de la classe qui n’en avait rien à faire des cours mais montrait tout de même signe de présence en mettant le bordel. Aaron et moi, nous nous connaissons depuis des années. Toujours partants pour nous embarquer dans de sales situations. C’est avec lui que j’ai fait un bon nombre de mes conneries. Quand j’y repense, je me dis que c’était le bon temps.

    Aaron vint s’installer à mes côtés tout en me répondant que sa prof de littérature était absente et qu’il avait donc le loisir de faire ce que bon lui semblait. Comparé à moi, Aaron avait toujours été plus enclin à réussir ses études. Chose que je lui enviais. Il pouvait faire autant de conneries qu’il souhaitait, il parvenait à obtenir une moyenne convenable alors que de mon côté, je galérais avec difficulté pour dépasser la moyenne, ce qui arrivait que très rarement. Je ne me vexai pas lorsqu’Aaron lâcha qu’avec moi, on pouvait être sûr que j’étais en train de sécher. Après tout, il n’avait pas tort. Je n’étais pas du genre à suivre tous les cours de l’année préférant de loin le privilège de toute cette liberté qui m’était offerte en dehors. Depuis que j’étais adolescent, je traînais dans les rues alors que je devais être assis sagement derrière un banc écoutant avec attention le baratin du prof. Pourquoi aurais-je changé à l’université ? Je savais pertinemment que si je voulais réussir et rendre ma mère fière de moi, je m’engageai sur le mauvais chemin. Comment concilier étude et travail ? Il fallait se rendre à l’évidence, je devrais un jour ou l’autre faire un choix. Choix que j’avais déjà fait.

    - Voyons, je ne sèche pas. Je suis bien trop sage que pour faire une chose pareille, plaisantai-je tout en mimant une auréole au-dessus de ma tête. J’ai juste eu un problème avec mon réveil qui n’a pas sonné et vu le temps que j’ai manqué, j’ai jugé qu’il était trop bête de me rendre en cours. Ce n’est pas sécher ça, hein ?

    Je souris de toutes mes dents, faisant une tête d’ange pour que sa réponse soit clémente. Néanmoins, j’étais sûr qu’il sauterait sur l’occasion pour me lancer une pique. C’était comme cela avec lui, on n’hésitait pas à se lancer de petits sarcasmes. En aucun cas, notre but était de vexer l’autre, loin de là. De toute façon nous savions pertinemment que l’autre ne cherchait pas à nous blesser, bien du contraire. Je recouchai sur mon sac adoptant la position dans laquelle je me trouvais avant qu’il ne vienne m’asperger d’eau. Je fermai lentement les yeux. Il faisait étonnement calme. Je m’empressai de rompre ce silence oppressant.

    - Et quoi, vieux, t’as rien à me raconter ?

    Connaissant Aaron, il aurait certainement quelque chose à dire.

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